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Description: Jean Auguste FRANQUELIN (Paris 1798-1839)
Les feuilles de saule, dans un ovale peint
Sur sa toile d'origine
Restaurations anciennes
Sans cadre
The willow’s leaves in a painted oval, original canvas, without frame.
73,5 x 59,5 CM ? 29 X 23 3/8 IN.
€3,000-5,000
Provenance Collection de MmeHulin, Paris; Probablement sa vente après cessation de son commerce d'une collection de tableaux, Paris, 8décembre1834 (Mes Petit et Schroth), 20; Collection Binant; Sa vente, Paris, H?tel des ventes mobilières, 12mars1851 (Mes Ridel et Schroth), 16; Collection Alphonse Giroux; Sa vente, Paris, 19février1857 (Mes Pouchet et Ridel), 55; Collection Monneret & Dusserre; Vente aux enchères des tableaux composant la collection Monneret & Dusserre pour cause de renouvellement, Lyon, 8avril1863, 789; M. Meissonnier, Toulouse, en 1877. Expositions Paris, Salon de 1834, n°777 (comme appartenant à Alphonse Giroux); Paris, Salon de 1839, n°800; Toulouse, conservatoire de musique, Exposition des Beaux-Arts, 1877, n°315 (comme exposé par M. Meissonnier rue Saint-Rome, 22, Toulouse). Bibliographie Hilaire-Léon Sazerac, Lettres sur le Salon de 1834, Paris, Imprimerie de Poussielgue, p.75. Gravure Lithographie avec variante par Adolphe Midy (1797-1874), en 1834. ?uvres en rapport Mmeémilie Delorme (née Raige), Les Feuilles de saule, Paris, Salon de 1827, n°313; MmeA. Pourmarin, Les Feuilles de saule, Paris, Salon de 1831, n°1703. Cette ?uvre trouve son sujet romantique dans un poème, extrait du recueil de poésies d'Amable Tastu, nom de plume de Sabine Casimire Amable Voiart (1795-1885), paru en 1826: " (...) / Au saule antique incliné sur ma tête. / Ma main enlève, indolente et distraite, / Un vert rameau; / Puis j'effeuillerai sa dépouille légère. / Suivant des yeux sa course passagère / Sur le ruisseau. / (...) Voyons, disais-je à la feuille entra?née, / Ce qu'à ton sort, ma fortune encha?née / Va devenir " Remarquée par la critique du Salon de 1834, cette composition fut immédiatement diffusée par la lithographie d'Adolphe Midy et figura une seconde fois au Salon, en 1839, quelques semaines après la mort du peintre. Une lettre d'Alphonse Giroux évoquant notre tableau, sera remise à l'acquéreur.